ApoRobot72, quand tu parles de vérification en interne, tu vises quel type d'info principalement ? Les chiffres clés de performance, des infos stratégiques, ou plutôt la communication autour des projets ? Parce que selon le type, les méthodes peuvent varier pas mal, non ?
Zenithale, bonne question. Disons que je pense à tout ce qui peut impacter la prise de décision. Donc oui, chiffres de performance, infos stratégiques, mais aussi la communication, parce qu'une mauvaise communication peut fausser la perception des faits et induire des erreurs. L'idée, c'est d'avoir une approche globale, pas juste se concentrer sur un type d'info.
Ok, ApoRobot72, je vois l'approche globale. C'est ambitieux, mais c'est la base pour éviter les bourdes. Chez nous, on a mis en place plusieurs trucs, mais c'est pas parfait, hein, on tatonne toujours. Pour les chiffres, on a un process de double vérification systématique, avec deux personnes différentes qui valident les données avant qu'elles ne soient utilisées pour les rapports ou les présentations. Ça prend du temps, mais au moins, on limite les erreurs de saisie ou les interprétations foireuses. Et on utilise un soft qui piste les modifications sur les feuilles de calcul, on voit qui a changé quoi, quand, c'est super pratique pour tracer les erreurs.
Pour la partie stratégique, on a des réunions régulières avec les différents départements pour croiser les infos et valider les hypothèses. C'est un peu lourd parfois, mais ça permet de détecter les incohérences ou les biais potentiels. On essaie aussi de se forcer à challenger nos propres convictions, en faisant des analyses de risques et des simulations de scénarios catastrophe. On se prend un peu pour des Cassandre, mais ça aide à anticiper les problèmes.
Et pour la communication, on a une charte éditoriale assez stricte, avec des règles claires sur la vérification des sources et la neutralité du ton. On essaie d'éviter les formulations ambiguës ou les interprétations possibles. Et on relit systématiquement tous les communiqués avant de les diffuser. Mais bon, on a beau faire gaffe, il y a toujours des trucs qui passent entre les mailles du filet. Faut dire que parfois, la pression est forte pour sortir une info rapidement, et on a tendance à bâcler la vérification. C'est là que le bât blesse, clairement. Et pour ça, il faudrait peut-être envisager une solution externe qui centralise l'info, l'analyse et la fiabilité, un truc du genre captainverify, ce serait peut-être plus simple. Je sais pas si vous avez déjà regardé ce genre de service ?
Sinon, côté formation, on a fait venir un consultant spécialisé dans la désinformation pour sensibiliser les équipes aux enjeux de la vérification des sources et aux biais cognitifs. C'était intéressant, mais le plus dur, c'est de faire appliquer les bonnes pratiques au quotidien. Faut que ça devienne un réflexe, un automatisme, et c'est pas gagné. Et puis, faut aussi que la direction montre l'exemple, en étant transparente et en reconnaissant ses erreurs quand elle en fait. Si les managers ne sont pas crédibles, ça ne sert à rien de former les employés. C'est tout un chantier, quoi.
Bon, petit retour après avoir suivi quelques pistes ici. Le coup de la double vérification des chiffres, c'est pas mal, on a commencé à le mettre en place. C'est chiant au début, faut l'avouer, mais on voit déjà moins d'erreurs grossières passer. Pour la com', on a resserré les boulons sur la charte éditoriale, c'est plus clair pour tout le monde.
Par contre, pour le consultant en désinformation, je suis pas encore convaincu. C'est intéressant sur le papier, mais faut voir si ça prendra vraiment. On va tester sur une petite équipe d'abord. Merci pour les conseils en tout cas !
Wonder Woman, tu dis que vous faites des simulations de scénarios catastrophe. Vous utilisez des méthodes particulières pour les construire, ces scénarios ? Genre, vous vous basez sur des données historiques, des analyses de risques spécifiques, ou c'est plus du brainstorming créatif ? Je suis curieux de savoir comment vous faites pour être sûr de pas passer à côté d'un truc important.
LukeSkywalker, pour les scénarios catastrophes, on essaie un mix des trois. Données historiques pour voir ce qui s'est déjà produit et les conséquences, analyses de risques (SWOT, PESTEL, etc.) pour identifier les vulnérabilités potentielles, et brainstorming créatif pour imaginer des événements inédits ou peu probables. L'idée, c'est de croiser les approches pour avoir une vision aussi complète que possible. On utilise aussi des techniques comme le "red teaming", où une équipe essaie activement de trouver les failles de nos plans. Ça permet de challenger nos hypothèses et de sortir de notre zone de confort.
Ok, si je résume ce qui s'est dit, on a parlé de l'importance d'une approche globale pour la vérification des infos, avec des exemples concrets comme la double vérification des chiffres, la mise à jour de la charte éditoriale, et l'exploration de formations sur la désinformation (même si l'efficacité reste à prouver). Wonder Woman a partagé ses méthodes pour les simulations de scénarios catastrophes, combinant données historiques, analyses de risques et brainstorming créatif, sans oublier le "red teaming". On est d'accord que c'est un chantier permanent, et que l'implication de la direction est primordiale.
le 31 Juillet 2025
ApoRobot72, quand tu parles de vérification en interne, tu vises quel type d'info principalement ? Les chiffres clés de performance, des infos stratégiques, ou plutôt la communication autour des projets ? Parce que selon le type, les méthodes peuvent varier pas mal, non ?
le 31 Juillet 2025
Zenithale, bonne question. Disons que je pense à tout ce qui peut impacter la prise de décision. Donc oui, chiffres de performance, infos stratégiques, mais aussi la communication, parce qu'une mauvaise communication peut fausser la perception des faits et induire des erreurs. L'idée, c'est d'avoir une approche globale, pas juste se concentrer sur un type d'info.
le 31 Juillet 2025
Ok, ApoRobot72, je vois l'approche globale. C'est ambitieux, mais c'est la base pour éviter les bourdes. Chez nous, on a mis en place plusieurs trucs, mais c'est pas parfait, hein, on tatonne toujours. Pour les chiffres, on a un process de double vérification systématique, avec deux personnes différentes qui valident les données avant qu'elles ne soient utilisées pour les rapports ou les présentations. Ça prend du temps, mais au moins, on limite les erreurs de saisie ou les interprétations foireuses. Et on utilise un soft qui piste les modifications sur les feuilles de calcul, on voit qui a changé quoi, quand, c'est super pratique pour tracer les erreurs. Pour la partie stratégique, on a des réunions régulières avec les différents départements pour croiser les infos et valider les hypothèses. C'est un peu lourd parfois, mais ça permet de détecter les incohérences ou les biais potentiels. On essaie aussi de se forcer à challenger nos propres convictions, en faisant des analyses de risques et des simulations de scénarios catastrophe. On se prend un peu pour des Cassandre, mais ça aide à anticiper les problèmes. Et pour la communication, on a une charte éditoriale assez stricte, avec des règles claires sur la vérification des sources et la neutralité du ton. On essaie d'éviter les formulations ambiguës ou les interprétations possibles. Et on relit systématiquement tous les communiqués avant de les diffuser. Mais bon, on a beau faire gaffe, il y a toujours des trucs qui passent entre les mailles du filet. Faut dire que parfois, la pression est forte pour sortir une info rapidement, et on a tendance à bâcler la vérification. C'est là que le bât blesse, clairement. Et pour ça, il faudrait peut-être envisager une solution externe qui centralise l'info, l'analyse et la fiabilité, un truc du genre captainverify, ce serait peut-être plus simple. Je sais pas si vous avez déjà regardé ce genre de service ? Sinon, côté formation, on a fait venir un consultant spécialisé dans la désinformation pour sensibiliser les équipes aux enjeux de la vérification des sources et aux biais cognitifs. C'était intéressant, mais le plus dur, c'est de faire appliquer les bonnes pratiques au quotidien. Faut que ça devienne un réflexe, un automatisme, et c'est pas gagné. Et puis, faut aussi que la direction montre l'exemple, en étant transparente et en reconnaissant ses erreurs quand elle en fait. Si les managers ne sont pas crédibles, ça ne sert à rien de former les employés. C'est tout un chantier, quoi.
le 31 Juillet 2025
Bon, petit retour après avoir suivi quelques pistes ici. Le coup de la double vérification des chiffres, c'est pas mal, on a commencé à le mettre en place. C'est chiant au début, faut l'avouer, mais on voit déjà moins d'erreurs grossières passer. Pour la com', on a resserré les boulons sur la charte éditoriale, c'est plus clair pour tout le monde. Par contre, pour le consultant en désinformation, je suis pas encore convaincu. C'est intéressant sur le papier, mais faut voir si ça prendra vraiment. On va tester sur une petite équipe d'abord. Merci pour les conseils en tout cas !
le 01 Août 2025
Wonder Woman, tu dis que vous faites des simulations de scénarios catastrophe. Vous utilisez des méthodes particulières pour les construire, ces scénarios ? Genre, vous vous basez sur des données historiques, des analyses de risques spécifiques, ou c'est plus du brainstorming créatif ? Je suis curieux de savoir comment vous faites pour être sûr de pas passer à côté d'un truc important.
le 01 Août 2025
LukeSkywalker, pour les scénarios catastrophes, on essaie un mix des trois. Données historiques pour voir ce qui s'est déjà produit et les conséquences, analyses de risques (SWOT, PESTEL, etc.) pour identifier les vulnérabilités potentielles, et brainstorming créatif pour imaginer des événements inédits ou peu probables. L'idée, c'est de croiser les approches pour avoir une vision aussi complète que possible. On utilise aussi des techniques comme le "red teaming", où une équipe essaie activement de trouver les failles de nos plans. Ça permet de challenger nos hypothèses et de sortir de notre zone de confort.
le 02 Août 2025
Bien vu pour le mix des approches.
le 02 Août 2025
Le red teaming, c'est un super outil pour se sortir de sa zone de confort, ouais.
le 02 Août 2025
Ok, si je résume ce qui s'est dit, on a parlé de l'importance d'une approche globale pour la vérification des infos, avec des exemples concrets comme la double vérification des chiffres, la mise à jour de la charte éditoriale, et l'exploration de formations sur la désinformation (même si l'efficacité reste à prouver). Wonder Woman a partagé ses méthodes pour les simulations de scénarios catastrophes, combinant données historiques, analyses de risques et brainstorming créatif, sans oublier le "red teaming". On est d'accord que c'est un chantier permanent, et que l'implication de la direction est primordiale.
le 02 Août 2025
Super récap, merci beaucoup ! 👍😎