Excellente initiative, je suis curieux de voir ce qui va ressortir de cette discussion !
le 08 Mai 2025
Pour commencer, il y a le licenciement pour motif personnel, qui peut aller de la faute simple (retards répétés, etc.) à la faute grave (vol, violence...) voire la faute lourde (intention de nuire à l'entreprise).
Ensuite, il y a le licenciement pour motif économique, qui lui est lié aux difficultés financières de l'entreprise, ou à une réorganisation. C'est déjà une bonne base je pense.
C'est vrai que la distinction faute simple / grave / lourde est importante. Souvent, on pense qu'il faut absolument un truc hyper grave pour se faire licencier, mais des retards répétés, ça peut suffire... Faut faire gaffe.
Et pour compléter, il y a aussi l'inaptitude constatée par le médecin du travail. Si tu es déclaré inapte à ton poste et que l'entreprise ne peut pas te proposer de reclassement, c'est un motif de licenciement (avec certaines obligations pour l'employeur, bien sûr). C'est moins fréquent, mais ça existe.
Inaptitude, c'est un peu le serpent qui se mord la queue parfois, non ? Genre, tu te flingues le dos au boulot, ils te disent inapte, et hop, dehors... Bon, après, faut voir les détails. Mais sinon, c'est vrai qu'on oublie souvent ce motif. Merci de l'avoir ajouté ! Ça fait un bon tour d'horizon, je trouve.
le 11 Mai 2025
Merci pour toutes ces infos, c'est top ! J'ai potassé un peu tout ça et j'y vois plus clair. Effectivement, la nuance entre les différentes "fautes" est importante. Et l'histoire de l'inaptitude, je n'y aurais pas pensé non plus. Bref, merci encore à tous pour vos contributions !
Quand tu parles de licenciement pour motif économique, tu inclus les cas de délocalisation ou c'est encore une autre catégorie ? Je me demande si ça rentre dans la réorganisation ou si c'est plus spécifique.
le 11 Mai 2025
Alors, oui, la délocalisation rentre bien dans le cadre du licenciement pour motif économique. C'est considéré comme une réorganisation de l'entreprise, même si c'est une réorganisation un peu spéciale on va dire... J'espère que c'est plus clair !
Ah, la fameuse "réorganisationunpeuspéciale"... Joli euphémisme pour dire qu'on se fait jeter à l'autre bout du monde 😂. Merci pour la précision en tout cas 👍.
le 11 Mai 2025
Merci beaucoup pour cette précision. C'est le genre de détail qui fait la différence !
le 12 Mai 2025
C'est clair que "réorganisationunpeuspéciale", ça sonne bizarre quand on parle de délocalisation. C'est le genre de truc que les RH te sortent avec un sourire en coin, alors que tu sais très bien ce que ça veut dire... Enfin bref.
Plus sérieusement, pour compléter sur le motif économique, faut aussi penser aux mutations technologiques. Une boite qui automatise à fond, elle peut se séparer de pas mal de monde, même si elle est pas forcément au bord du gouffre financièrement parlant. Genre, elle anticipe, elle investit dans des nouvelles machines, des logiciels... et derrière, y a moins besoin de personnel. C'est des plans de départs "volontaires" (façon de parler hein...) qui se transforment en licenciements si y a pas assez de monde qui se porte candidat. On voit ça de plus en plus, surtout dans l'industrie. Faut pas croire que c'est que les boites en difficulté qui licencient pour motif éco, y a aussi celles qui veulent rester compétitives en réduisant les coûts au maximum.
Si je récapitule pour que tout le monde soit bien au clair, on a donc abordé plusieurs grands types de licenciements : le motif personnel (avec les nuances faute simple, grave, lourde), le motif économique (incluant les délocalisations et les mutations technologiques), et l'inaptitude déclarée par la médecine du travail. On a également souligné l'importance de bien comprendre les subtilités derrière chaque motif, et que des choses qui paraissent anodines (comme des retards) peuvent parfois justifier un licenciement. C'est un peu le condensé de ce qui s'est dit, si j'ai bien suivi.
Pour compléter le récapitulatif très clair de Zenithale 👍, et en réponse à la question initiale, il est bon de savoir qu'il existe aussi le licenciement pour insuffisance professionnelle. C'est différent de la faute, car ça concerne l'incapacité du salarié à atteindre les objectifs fixés, malgré un accompagnement et des formations. C'est un motif délicat à prouver pour l'employeur, car il doit démontrer qu'il a tout mis en œuvre pour aider le salarié à s'améliorer. Mais ça existe bel et bien ! 🧐
le 08 Mai 2025
Excellente initiative, je suis curieux de voir ce qui va ressortir de cette discussion !
le 08 Mai 2025
Pour commencer, il y a le licenciement pour motif personnel, qui peut aller de la faute simple (retards répétés, etc.) à la faute grave (vol, violence...) voire la faute lourde (intention de nuire à l'entreprise). Ensuite, il y a le licenciement pour motif économique, qui lui est lié aux difficultés financières de l'entreprise, ou à une réorganisation. C'est déjà une bonne base je pense.
le 09 Mai 2025
C'est vrai que la distinction faute simple / grave / lourde est importante. Souvent, on pense qu'il faut absolument un truc hyper grave pour se faire licencier, mais des retards répétés, ça peut suffire... Faut faire gaffe.
le 10 Mai 2025
Et pour compléter, il y a aussi l'inaptitude constatée par le médecin du travail. Si tu es déclaré inapte à ton poste et que l'entreprise ne peut pas te proposer de reclassement, c'est un motif de licenciement (avec certaines obligations pour l'employeur, bien sûr). C'est moins fréquent, mais ça existe.
le 10 Mai 2025
Inaptitude, c'est un peu le serpent qui se mord la queue parfois, non ? Genre, tu te flingues le dos au boulot, ils te disent inapte, et hop, dehors... Bon, après, faut voir les détails. Mais sinon, c'est vrai qu'on oublie souvent ce motif. Merci de l'avoir ajouté ! Ça fait un bon tour d'horizon, je trouve.
le 11 Mai 2025
Merci pour toutes ces infos, c'est top ! J'ai potassé un peu tout ça et j'y vois plus clair. Effectivement, la nuance entre les différentes "fautes" est importante. Et l'histoire de l'inaptitude, je n'y aurais pas pensé non plus. Bref, merci encore à tous pour vos contributions !
le 11 Mai 2025
Quand tu parles de licenciement pour motif économique, tu inclus les cas de délocalisation ou c'est encore une autre catégorie ? Je me demande si ça rentre dans la réorganisation ou si c'est plus spécifique.
le 11 Mai 2025
Alors, oui, la délocalisation rentre bien dans le cadre du licenciement pour motif économique. C'est considéré comme une réorganisation de l'entreprise, même si c'est une réorganisation un peu spéciale on va dire... J'espère que c'est plus clair !
le 11 Mai 2025
Ah, la fameuse "réorganisationunpeuspéciale"... Joli euphémisme pour dire qu'on se fait jeter à l'autre bout du monde 😂. Merci pour la précision en tout cas 👍.
le 11 Mai 2025
Merci beaucoup pour cette précision. C'est le genre de détail qui fait la différence !
le 12 Mai 2025
C'est clair que "réorganisationunpeuspéciale", ça sonne bizarre quand on parle de délocalisation. C'est le genre de truc que les RH te sortent avec un sourire en coin, alors que tu sais très bien ce que ça veut dire... Enfin bref. Plus sérieusement, pour compléter sur le motif économique, faut aussi penser aux mutations technologiques. Une boite qui automatise à fond, elle peut se séparer de pas mal de monde, même si elle est pas forcément au bord du gouffre financièrement parlant. Genre, elle anticipe, elle investit dans des nouvelles machines, des logiciels... et derrière, y a moins besoin de personnel. C'est des plans de départs "volontaires" (façon de parler hein...) qui se transforment en licenciements si y a pas assez de monde qui se porte candidat. On voit ça de plus en plus, surtout dans l'industrie. Faut pas croire que c'est que les boites en difficulté qui licencient pour motif éco, y a aussi celles qui veulent rester compétitives en réduisant les coûts au maximum.
le 12 Mai 2025
Si je récapitule pour que tout le monde soit bien au clair, on a donc abordé plusieurs grands types de licenciements : le motif personnel (avec les nuances faute simple, grave, lourde), le motif économique (incluant les délocalisations et les mutations technologiques), et l'inaptitude déclarée par la médecine du travail. On a également souligné l'importance de bien comprendre les subtilités derrière chaque motif, et que des choses qui paraissent anodines (comme des retards) peuvent parfois justifier un licenciement. C'est un peu le condensé de ce qui s'est dit, si j'ai bien suivi.
le 12 Mai 2025
Pour compléter le récapitulatif très clair de Zenithale 👍, et en réponse à la question initiale, il est bon de savoir qu'il existe aussi le licenciement pour insuffisance professionnelle. C'est différent de la faute, car ça concerne l'incapacité du salarié à atteindre les objectifs fixés, malgré un accompagnement et des formations. C'est un motif délicat à prouver pour l'employeur, car il doit démontrer qu'il a tout mis en œuvre pour aider le salarié à s'améliorer. Mais ça existe bel et bien ! 🧐